Sexting – connaître les risques et ne pas s’y exposer

Presque tous les adolescents de plus de 12 ans possèdent un smartphone en Suisse. Avec pour conséquence que le cercle social se construit largement à travers les médias sociaux, dont les plus courants sont Instagram, Whatsapp ou Snapchat. Sachant que la sexualité joue un rôle important à ce stade du développement, les images à caractère érotique peuvent faire partie intégrante de la communication.   

Comprendre le sexting

Près de 10 % des adolescents se photographient en montrant leur nudité, intégrale ou partielle, avant d’envoyer ces selfies sexy à leur ami ou à leur amie (Statista, 12 janvier 2021). Ce comportement peut heurter, surtout les plus âgés. Mais tant que ces images atterrissent uniquement chez la personne à qui elles sont destinées, on peut interpréter cette pratique comme une façon de faire ses expériences sur le terrain de la sexualité et la voir comme une lettre d’amour numérique ou encore comme un coup d’audace.

Au cours de leur développement, les adolescents éprouvent le besoin d’expérimenter des relations romantiques ou la sexualité. Une étude (Döring, 2012 ; Lippman & Campbell, 2014) a mis en évidence qu’ils utilisent le sexting comme preuve d’amour avec leur partenaire ou alors, hors d’une relation, dans le but de flirter et d’exprimer un intérêt d’ordre romantique ou sexuel.  

C’est le destinataire de ces images à caractère intime qui représente le plus gros risque dans la pratique du sexting, car il est présumé responsable.

Les dangers du sexting

C’est le destinataire de ces images à caractère intime qui représente le plus gros risque dans la pratique du sexting, car il est présumé responsable. S’il abuse de la confiance placée en lui et que des tierces personnes ont accès aux photos, impossible de contrôler la diffusion de n’importe laquelle des photos envoyées un jour à ce destinataire. Elles peuvent aussi servir pour faire chanter et pratiquer le cyberharcèlement, avec des conséquences terribles pour la personne représentée sur ces images.

Où commence la pédopornographie ?

Autre risque : la justice peut considérer que la photo d’une jeune fille de 15 ans en dessous sexy relève de la pédopornographie ! Cette dernière se rend coupable d’une infraction dès lors qu’elle a produit et diffusé du matériel pédopornographique. A noter que les enfants sont tenus par la loi suisse de répondre de leurs actes dès l’âge de 10 ans !

Les adolescents doivent savoir que photographier ou prendre en vidéo les rend punissables si le contexte est sexuel et que la personne représentée a moins de 18 ans. Une exception est prévue pour les 16 à 18 ans si le partage de photos se fait par consentement mutuel (voir art. 197, alinéa 8, CP). Les représentations mettant en scène des actes explicitement sexuels, comme le coït, et impliquant deux mineurs de moins de 16 ans, relèvent dans tous les cas de la pédopornographie, sont illégales et donc poursuivies d’office.  

Si vous êtes confrontés à une situation problématique, n’hésitez pas à vous informer des options que vous avez sur le plan légal (Annuaire des brigades des mineurs des corps de police en Suisse).

Si leur caractère est explicitement sexuel, il faut anonymiser les photos de manière que leur diffusion ne porte pas à conséquence.

Quelles sont les règles à respecter ?

Les adolescents ne devraient pratiquer le sexting que s’ils le souhaitent vraiment, connaissent bien l’autre personne et ont confiance en elle. Le sexting devrait reposer sur la réciprocité. Si leur caractère est explicitement sexuel, il faut anonymiser les photos de manière que leur diffusion ne porte pas à conséquence. Respecter ces règles permet de réduire considérablement le risque de désagréments.

Mettre à plat

Il est important d’avoir un avis nuancé sur la pratique du sexting et d’admettre qu’un adolescent a besoin de réaliser des expériences. D’une façon générale, il est souhaitable de mettre les choses à plat et d’informer objectivement les jeunes sur les conséquences personnelles et juridiques potentielles que peut avoir cette pratique (Déplinat « Pornographie: Agir de bon droit »).


Pour plus d’informations, consultez les dépliants « Mon image: Agir de bon droit » et « Cyberharcèlement: Agir de bon droit » et le site www.147.ch

Sûr en ligne malgré le handicap cognitif

Les possibilités que recèlent les médias numériques (participation, information, communication, etc.), comportent aussi des risques. Développer une compétence en la matière implique de connaître ces risques et de savoir comment réagir. Le fonctionnement d’Internet et les particularités des réseaux sont parfois opaques et leurs pièges difficilement détectables. Cela représente un défi particulier pour les personnes souffrant de troubles cognitifs, car elles doivent être dans un environnement tangible et pratique pour apprendre.

Une ville fictive en ligne comme terrain de jeu

La ville fictive en ligne « Interneto » propose un apprentissage vivant et pratique impliquant des expériences sensorielles diverses, afin d’aider efficacement et durablement les personnes souffrant de troubles cognitifs à reconnaître et à gérer les risques numériques.

La métaphore de la ville est le fil conducteur à travers tous les sujets de la brochure. Dans chaque ville, certaines choses sont permises, d’autres non ; certains endroits sont beaux, d’autres dangereux. Il en va de même à « Interneto, la ville en ligne ». Il faut s’attendre à des sanctions quand on fait des choses interdites.

« Interneto » – matériel de travail

Les personnes souffrant de troubles cognitifs doivent pouvoir surfer sur Internet en toute sécurité. Vous trouverez ici différents supports pour les personnes souffrant de troubles cognitifs (en allemand seulement) pour aider à mieux s’orienter : une brochure avec des informations destinées aux professionnels, une image-promenade assortie de cartes, un jeu de piste autour des dangers qui guettent sur Internet et un assortiment de jeux.

Surfer en toute sécurité

Une brochure pour développer les capacités des personnes souffrant de troubles cognitifs.

La brochure « Naviguer sur le Net en toute Sécurité » transpose les questions complexes et abstraites relatives à la cybersécurité sous forme de messages clés simples et visualisables. Elle contient aussi un catalogue de propositions sur la façon de concrétiser ces questions dans la pratique.

Les conseils, messages et visualisations ont été conçus par des didacticiens des médias issus de la pédagogie sociale et curative et de la police.

Les idées et les documents de travail sont aisément applicables dans l’environnement de travail quotidien. Ainsi,

  • la brochure fournit des informations pour les personnes accompagnantes et des suggestions sur la manière de traiter les sujets avec leurs clientes et clients ;
  • l’illustration et le recto des cartes permettent de lancer la discussion sur les risques avec les clientes et clients, et de les soutenir ;
  • au verso des cartes se trouvent des suggestions pour les discussions sur les sujets de la brochure, afin de les avoir rapidement à portée de main dans la vie quotidienne.

Pour commander la brochure imprimée « Naviguer sur le Net en toute Sécurité », écrire à mekis@bffbern.ch

Qu’est-ce que le cyberharcèlement ?

Le cyberharcèlement implique plusieurs auteurs qui s’en prennent à une personne pendant un certain temps via Internet ou via un smartphone dans le but délibéré de la blesser, de la menacer, de l’humilier ou de la harceler.

Quels actes concrets sont qualifiés de cyberharcèlement ?

  • La diffusion d’informations erronées et de fausses rumeurs
  • La diffusion de photos ou de vidéos vexantes, falsifiées ou dénudées, voire pornographiques
  • La fabrication de profils truqués (au contenu blessant)
  • Le fait de proférer des injures, de harceler, de menacer et d’exercer un chantage par e-mail, SMS, etc.
  • La création de « groupes de haine » dans le but de consigner des remarques négatives sur un individu, à la manière d’un livre d’or.

Quelles sont les causes de cyberharcèlement ?

Le cyberharcèlement est toujours lié à un manque de compétences sociale et médiatique. Les auteurs manquent d’empathie pour la victime ou sont indifférents à ce qu’ils font. Les harceleurs renforcent leur position dans le groupe en rabaissant ou en insultant certains individus. Parfois, les auteurs profitent du manque de compétence médiatique de la victime, si celle-ci n’a pas pris les précautions requises pour gérer ses mots de passe, n’est pas suffisamment informée au moment de poster des photos, des vidéos ou d’autres contenus, ou ne s’est pas demandée qui serait susceptible de voir, de diffuser ou de faire un mauvais usage du matériel posté.

Quels sont les liens entre la victime et les harceleurs ?

Le cyberharcèlement touche principalement les enfants et les jeunes et sa source est souvent l’école, ou en tout cas le monde non virtuel. Les harceleurs profitent de l’anonymat d’Internet pour masquer leur identité, mais ils font généralement partie des connaissances de la victime.

Comment protéger les enfants et les jeunes du cyberharcèlement ?

En encadrant les jeunes pour les aider à acquérir une compétence médiatique et en leur parlant du cyberharcèlement et de ses conséquences. Consulter à ce sujet les brochures « My little Safebook » et « Il était une fois … Internet ».

Que faire lorsque mon enfant est victime de cyberharcèlement

  • Récoltez des preuves qu’une attaque de cyberharcèlement est en cours. Faites des captures d’écran de sites Internet, sauvegardez les fils de discussion dans les tchats et les SMS, enregistrez les noms d’utilisateur, etc.
  • Parlez du cas de harcèlement avec le titulaire de classe et, le cas échéant,
    avec le service social scolaire. Insistez pour que le titulaire s’active lui aussi, surtout si l’attaque provient des rangs de la classe ou de l’établissement de votre enfant.
  • Si l’attaque de cyberharcèlement ne cesse pas immédiatement après la discussion avec les jeunes concernés et leurs référents adultes, faites appel à de l’aide extérieure. Adressez-vous à un centre d’aide aux victimes ou à un service d’aide à la jeunesse de votre canton et évoquez avec ces experts s’il y a lieu de porter plainte à votre lieu de domicile ou s’il vaudrait mieux formuler une plainte pénale.

Que faire lorsque mon enfant participe à une attaque de cyberharcèlement ?

  • Parlez avec votre enfant des conséquences du cyberharcèlement pour la victime et expliquez-lui quelles sanctions pénales peuvent frapper les auteurs de cyberharcèlement.
  • Exigez qu’il cesse immédiatement de participer à des attaques de cyberharcèlement.
  • Réfléchissez ensemble à la manière de s’excuser auprès de la victime et de réparer cette injustice.
  • Si vous avez de bonnes raisons de penser que d’autres enfants ont participé à des attaques de cyberharcèlement ou que vous soupçonnez que votre enfant n’a pas cessé ses agissements, informez-en son titulaire de classe. Discutez avec lui des actions à engager.

Que fait la police pour les victimes de cyberharcèlement ?

Si un acte de cyberharcèlement se double d’extorsion et de chantage au sens de l’art. 156 CP ou de contrainte au sens de l’art. 181 CP, ces agissements sont poursuivis d’office par la police dès qu’elle en a connaissance. Indépendamment du fait que la victime souhaite ou non que les auteurs fassent l’objet d’une poursuite pénale !
Les infractions « plus légères » commises en lien avec le cyberharcèlement (injure selon l’art. 177 CP, p. ex.) ne sont poursuivies qu’à partir du moment où la victime (ou son représentant légal) porte plainte auprès de la police.

Que faire lorsque mon enfant est victime de cyberharcèlement, ou pourrait l’être ?

  • Si vous constatez des changements dans le comportement de votre enfant, évoquez le cyberharcèlement comme source possible de ce changement. Ne vous voilez pas non plus la face : votre enfant peut tout aussi bien être victime qu’auteur. Parlez-en avec lui. Si vous remarquez que votre enfant prend part à des attaques de cyberharcèlement, vous devez aussi réagir.
  • Récoltez des preuves qu’une attaque de cyberharcèlement est en cours. Faites des captures d’écran de sites Internet, sauvegardez les fils de discussion dans les tchats et les SMS, enregistrez les noms d’utilisateur, etc.
  • Parlez du cas de harcèlement avec le titulaire de classe et, le cas échéant,
    avec le service social scolaire. Insistez pour que le titulaire s’active lui aussi, surtout si l’attaque provient des rangs de la classe ou de l’établissement de votre enfant.
  • Si l’attaque de cyberharcèlement ne cesse pas immédiatement après la discussion avec les jeunes concernés et leurs référents adultes, faites appel à de l’aide extérieure. Adressez-vous à un centre d’aide aux victimes ou à un service d’aide à la jeunesse de votre canton et évoquez avec ces experts s’il y a lieu de porter plainte à votre lieu de domicile ou s’il vaudrait mieux formuler une plainte pénale.

Comment aider mon enfant à ne pas être victime de cyberharcèlement ?

  •  Aidez-le à acquérir des compétences médiatiques. Parler avec lui des atouts et des dangers d’Internet. La brochure My little Safebook vous sera utile. Pour les enfants de moins de 12 ans, optez pour la brochure Il était une fois … Interne.
  • Encouragez votre enfant à se confier à vous. Expliquez-lui qu’il peut parler avec vous, et qu’il doit le faire s’il est harcelé dans les médias sociaux ou s’il a observé que d’autres le sont.
  • Ne craignez pas d’aborder la question du cyberharcèlement, même si vous n’avez pas de compétences techniques très développées concernant les ordinateurs portables, les tablettes ou les smartphones.

Cyberharcèlement

Définition

Le cyberharcèlement implique toujours plusieurs auteurs qui s’en prennent à une personne pendant un certain temps via Internet ou via un smartphone dans le but délibéré de la blesser, de la menacer, de l’humilier ou de la harceler.

Dans le détail, les actes commis sont :

  • La diffusion d’informations erronées et de fausses rumeurs
  • La diffusion et le chargement de photos ou de vidéos vexantes, falsifiées ou dénudées, voire pornographiques
  • La fabrication de profils truqués (au contenu blessant)
  • Le fait de proférer des injures, de harceler, de menacer et d’exercer un chantage par e-mail, par SMS, etc.
  • La création de « groupes de haine » dans le but de consigner des remarques négatives sur un individu, à la manière d’un livre d’or.

Victimes, auteurs et causes

Les liens victime-harceleur

Le cyberharcèlement touche principalement les enfants et les jeunes et sa source est souvent l’école, ou en tout cas le monde non virtuel. Les harceleurs profitent de l’anonymat d’Internet pour masquer leur identité, mais ils font généralement partie des connaissances de la victime.

Les causes du cyberharcèlement

Le cyberharcèlement est toujours lié à un manque de compétences sociale et médiatique. Les auteurs manquent d’empathie pour la victime ou sont indifférents à ce qu’ils font. Les harceleurs renforcent leur position dans le groupe en rabaissant ou en insultant certains individus. Bien souvent, l’auteur n’a pas conscience que tous les actes interdits hors de la sphère d’Internet sont aussi punissables lorsqu’ils sont commis en ligne.

Parfois, les auteurs profitent du manque de compétence médiatique de la victime, si celle-ci n’a pas pris les précautions requises pour gérer ses mots de passe, n’est pas suffisamment informée au moment de poster des photos, des vidéos ou d’autres contenus, ou ne s’est pas demandée qui serait susceptible de voir, de diffuser ou de faire un mauvais usage du matériel posté.

Déplacement vers Internet

Avec la multiplication des smartphones, de nombreux jeunes sont toute la journée en ligne. La conséquence est qu’une large part de leurs interactions sociales se déplace vers Internet. En font partie les conflits propres à cette classe d’âge, la prise de risque – consciente ou inconsciente –, la recherche des limites ou leur transgression. Et contrairement aux disputes qui éclatent dans la cour de récréation ou sur le chemin de l’école, le harcèlement en ligne ne permet pas à la victime de se sentir en sécurité et de refaire ses forces quand elle est à la maison. En plus, elle n’est pas sûre d’être à l’abri d’une nouvelle attaque, une fois qu’elle s’est réconciliée avec l’auteur ou que celui-ci a été puni. En effet, la diffusion des données publiées sur Internet échappe à tout contrôle efficace. Ni l’auteur, ni la victime, ni même la police n’ont les moyens de le faire.

Situation juridique

Le cyberharcèlement ne fait pas l’objet d’une norme pénale spécifique en Suisse.

Les infractions typiques commises dans ces cas sont :

Que fait la police ?

Si un acte de cyberharcèlement se double d’extorsion et de chantage au sens de l’art. 156 CP ou de contrainte au sens de l’art. 181 CP, ces agissements sont poursuivis d’office par la police dès qu’elle en a connaissance. Indépendamment du fait que la victime souhaite ou non que les auteurs fassent l’objet d’une poursuite pénale !

Les infractions « plus légères », commises en lien avec le cyberharcèlement (injure selon l’art. 177 CP, p. ex.), ne sont poursuivies qu’à partir du moment où la victime (ou son représentant légal) porte plainte auprès de la police.

Comment se protéger?

Comment aider mon enfant à ne pas être victime de cyberharcèlement ?

  •  Aidez-le à acquérir des compétences médiatiques. Parler avec lui des atouts et des dangers d’Internet. La brochure My little Safebook vous sera utile. Pour les enfants de moins de 12 ans, optez pour la brochure Il était une fois ... Interne.
  • Encouragez votre enfant à se confier à vous. Expliquez-lui qu’il peut parler avec vous, et qu’il doit le faire s’il est harcelé dans les médias sociaux ou s’il a observé que d’autres le sont.
  • Ne craignez pas d’aborder la question du cyberharcèlement, même si vous n’avez pas de compétences techniques très développées concernant les ordinateurs portables, les tablettes ou les smartphones.

Que faire lorsque mon enfant est victime de cyberharcèlement, ou pourrait l’être ?

  • Si vous constatez des changements dans le comportement de votre enfant, évoquez le cyberharcèlement comme source possible de ce changement. Ne vous voilez pas non plus la face : votre enfant peut tout aussi bien être victime qu’auteur. Parlez-en avec lui. Si vous remarquez que votre enfant prend part à des attaques de cyberharcèlement, vous devez aussi réagir.
  • Récoltez des preuves qu’une attaque de cyberharcèlement est en cours. Faites des captures d’écran de sites Internet, sauvegardez les fils de discussion dans les tchats et les SMS, enregistrez les noms d’utilisateur, etc.
  • Parlez du cas de harcèlement avec le titulaire de classe et, le cas échéant,
    avec le service social scolaire. Insistez pour que le titulaire s’active lui aussi, surtout si l’attaque provient des rangs de la classe ou de l’établissement de votre enfant.
  • Si l’attaque de cyberharcèlement ne cesse pas immédiatement après la discussion avec les jeunes concernés et leurs référents adultes, faites appel à de l’aide extérieure. Adressez-vous à un centre d’aide aux victimes ou à un service d’aide à la jeunesse de votre canton et évoquez avec ces experts s’il y a lieu de porter plainte à votre lieu de domicile ou s’il vaudrait mieux formuler une plainte pénale.

Cyberharcèlement: Agir de bon droit

Informations sur le thème du cyberharcèlement et de son cadre réglementaire

Le fascicule «Cyberharcèlement: Agir de bon droit» fournit des renseignements sur les principaux articles de loi concernant le cyberharcèlement. Deux exemples de cas ont pour but de montrer comment le harcèlement est pratiqué dans les nouveaux médias et sept conseils illustrent com¬ment se protéger contre ce phénomène. Le fascicule poursuit en outre le but de permettre aux jeunes de faire la différence entre une dispute et une attaque de cyberharcèlement. Quant aux parents et responsables d’éducation, il les conseille afin qu’ils maîtrisent le sujet avant de l’aborder avec les jeunes.

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